Le linceul de Jésus
le coin du voile levé
Description:... L'Eglise catholique est gardienne du Linceul de Turin et depuis 1983 son propriétaire. Du 18 avril au 14 juin 1998 elle exposa à la vue des pèlerins le précieux linge, présenté comme une " vénérable icône ". Ma conviction intime, étayée d'une bonne connaissance du sujet, s'est trouvée renforcée : Le Linceul est l'ultime relique du Christ, la relique fondatrice du christianisme. Le ressourcement de croyance au Christ par le Linceul de Turin n'est acceptable que si ce dernier est reconnu comme le linge du tombeau de Jésus. Toute autre affirmation est absurde sinon hérétique. A l'occasion de la prochaine ostension annoncée pour l'an 2000, l'Eglise se doit de réviser son jugement. Elle en a le pouvoir et les moyens. Les signes particuliers qui relient le drap d'ensevelissement de Jésus dans les Evangiles à la réalité historique du Linceul de Turin dépassent le seuil de probabilité. Ils intriguent la saine curiosité du chercheur de bonne foi et militent pour une identité de cohérence. L'histoire du Linceul de Jésus est cause de méprises et d'énigmes, que l'on ne tient pas à corriger ni à résoudre. Les récits grecs des Evangiles du premier siècle sur l'ensevelissement du corps de Jésus et sur la découverte de son tombeau vide constituent le matériau scripturaire, de base, que les docteurs de l'Eglise ont négligé d'analyser et d'exploiter. La question de leur sens (philosophique, voire métaphysique) n'est pas véritablement élucidée. Les linges qui ont enveloppé le corps du crucifié sont définis par trois mots inusités dans le langage funéraire : sindon, othonia et soudarion. Certes, " sindon " signifie un " drap de lin ", que l'on traduira par " linceul ". Mais que désigne le pluriel " othonia " ? S'agit-il d'un ensemble de " bandelettes " ou de " linges " ? d'un " linceul " ? mieux encore " des linceuls " ou d'un " double linceul " ? Le " soudarion qui était sur la tête de Jésus " précise-t-il un " suaire " un " voile " ? ou une " mentonnière ", un " serre-tête " ? Comment les linges funéraires furent-ils utilisés pour l'ensevelissement ? Dans quelle disposition les apôtres Pierre et Jean les ont-ils observés dans le tombeau ouvert ? Lorsqu'en juin 1997 j'eus accès à l'existence du Suaire de Cahors ou " Sainte-Coiffe ", je réalisai que la relique conservée dans la cathédrale Saint-Etienne de Cahors était à la fois le linge complémentaire du Linceul de Turin et l'authentique soudarion johannique. La Sainte-Coiffe " enroulée " en forme de coupe " sur la tête de Jésus ", imprégnée des gouttes de son sang, évoque pour le chevalier chrétien le calice du Saint Graal ! Ignorée des scientifiques et des religieux, elle confirme la justesse de mon étude sur le Linceul de Jésus.
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