Robert Nelson dit le Diable
Face-à-face entre les Britanniques et les forces rebelles réfugiées aux États-Unis (1838 - 1839)
Description:... En 1837, après la résistance des patriotes dans le Bas-Canada et la tentative de renversement du gouvernement britannique dans le Haut-Canada, la plupart des chefs ont trouvé refuge aux États-Unis d’Amérique. En 1838, le temps est venu de chasser les Britanniques hors de l’Amérique. Tandis que William Lyon Mackenzie, le rebelle, se concentre sur les vertus de la publication de son journal, William Bill Johnston, le pirate, n’hésite pas à faire alliance avec d’anciens généraux américains. Les chefs patriotes du Bas-Canada, privés des services de Wolfred Nelson, emprisonné à Montréal, sont partagés entre la position de Louis-Joseph Papineau, le politicien, et celle de Robert Nelson, le descendant de loyalistes, qui ne jure que par une force militaire appuyée par un mouvement massif de la population pour renverser le pouvoir britannique. Mais c’est sans compter la réaction de Londres qui dépêche lord Durham, un gouverneur investi de pouvoirs dictatoriaux pour ramener la paix au pays et trouver le remède aux maux qui gangrènent les colonies de l’Amérique du Nord britannique. Deuxième partie d'une trilogie qui a débuté par Alias Anthony St. John et qui se terminera avec L’Épouvantail, ce livre raconte la glorieuse épopée de la tentative de l’établissement d’une république au nord du 45e parallèle. Un violent face-à-face.
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